Diabète : 4e édition de la semaine de prévention du diabète
Du 6 au 13 juin 2015, l’Association Française des Diabétiques (AFD) lance la 4e édition de la Semaine de prévention du diabète, afin d'informer et de sensibiliser le public aux facteurs de risques et aux comportements préventifs liés au diabète.
Pour enrayer cette épidémie, l’AFD fait porter son message de prévention par une campagne média et une campagne « terrain » menée au plan national par ses 105 associations locales et régionales.
Selon Gérard Raymond, Secrétaire Général de l’AFD, on enraye l’évolution exponentielle d’une maladie chronique comme le diabète « par la prévention d’abord, la prévention ensuite, la prévention encore ! C’est l’arme la plus efficace dont nous pouvons disposer pour vaincre cette épidémie silencieuse ».
Le diabète se place dans la catégorie des maladies « graves » et cause environ 30 000 décès par an ; mal traité ou diagnostiqué tardivement, il engendre des complications dramatiques (amputations, perte de la vue, etc). 30 000 décès par an, c’est près de dix fois plus de morts que ceux liés aux accidents de la route, dont l’État a pourtant fait de cette lutte une cause nationale.
La menace croissante du diabète est due à des facteurs de risque qui sont liés principalement aux modes de vie : alimentation trop riche, trop grasse, appauvrie en nutriments essentiels, inactivité physique, consommation de tabac et alcool et surcharge pondérale. Une situation d'autant plus grave que le diabète a un lien étroit avec les maladies cardiovasculaires.
Il est urgent de se mobiliser, d'autant plus, qu'en France, 700 000 diabétiques s'ignorent. La difficulté c'est que l'arrivée de cette maladie est insidieuse, près de 90 % des diabétiques vivent pendant des années avec cette maladie en ignorant qu’ils sont concernés.
Le diabète ne provoque en général pas de manifestations pendant une très longue période. C'est pourquoi, il est vivement conseillé d'utiliser, en prévention, des compléments alimentaires qui contribuent à équilibrer le taux de sucre dans le sang mais aussi et surtout qui permettent de soulager le rôle du pancréas de production d'insuline. Le «capital» de production d'insuline par le pancréas peut en effet s'épuiser rapidement.
Au début du XXe siècle, chaque Français consommait 1 kg de sucre par an, 35 kg aujourd’hui. Par ailleurs, nous consommons trop peu de légumes et, à la place, trop de pâtes, riz, pommes de terre… qui produisent du glucose dans le sang.
Plusieurs études ont fait le lien avec les maladies cardio-vasculaires (Nasa Research Center) : le sucre, en effet, fait monter les triglycérides ainsi que le cholestérol LDL. Il peut favoriser des pathologies oculaires comme la cataracte, les rétinopathies et, par un phénomène que les scientifiques nomment glycation (liaisons anormales entre sucres et protéines), le vieillissement prématuré de tous les tissus de l’organisme. Des chercheurs voient aussi, dans l’excès de sucre dans le sang, un agent favorisant plusieurs cancers : du pancréas, de l’estomac, du côlon, de l’endomètre (Centre international du cancer de Lyon, École de Harvard). Car aussi bien les bactéries que les champignons intestinaux et les cellules cancéreuses prospèrent grâce au sucre.
Pour rééquilibrer le taux de sucre dans le sang et pallier l’insuffisance de la fonction pancréatique, des plantes et minéraux sont remarquables. Il permettent également d’avoir un apport d’énergie directement utilisable pour les sportifs (donc une amélioration des performances et de la récupération) et sont aussi très utiles pour mincir et éviter de refaire du gras :
- L’huile de son de riz
L’huile de son de riz a un effet positif sur le contrôle du sucre dans le sang. Lorsque l’on mange trop riche, il est fréquent que la fonction pancréatique de production de l’insuline s’épuise. L’insuline permet au sucre de passer du sang vers les cellules pour leur fournir l’énergie nécessaire. Lorsque l’insuline manque, le sucre reste dans le sang, c’est une situation de diabète. L’huile de son de riz, grâce à ses actifs, va mimer le rôle de l’insuline et amener le sucre (sous forme d’énergie) vers les cellules, notamment vers les muscles. Aux USA, l’association « Diabetes Ressources Center » a reconnu l’Huile de son de Riz pour son action sur la régulation du sucre dans le sang.
- La cannelle
De récentes études confirment l’intérêt de la cannelle qui garantit une amélioration de l’action de l’insuline et joue également un rôle mimétique (=insuline like). Elle améliore le métabolisme glucose/insuline et inverse l’insulinorésistance.
Le principe actif présent dans l'écorce de cannelle est un flavonoïde (antioxydant), le MHCP ou chalcone methylhydroxy polymère. Selon certaines études, des composés hydrosolubles dont le MHCP sont capables d'accroître le métabolisme du glucose, c'est-à-dire la capacité des cellules à convertir le glucose en énergie. Ils auraient aussi la propriété de stimuler la sensibilité des cellules à l'insuline.
- Le chrome
Une carence en chrome se manifeste par des troubles du métabolisme des glucides (sucres) et des lipides (graisses) avec comme principales conséquences une hyperglycémie (trop de sucre dans le sang), une hyperinsulinémie (trop forte production d’insuline) et/ou une hyperlipidémie (trop de graisses dans le sang). Par ailleurs, en plus de son action sur le sucre et les graisses, le chrome contrôle la sensation de faim, notamment les fringales. Une supplémentation en chrome peut être conseillée dans le cadre d’un régime amaigrissant pour participer au contrôle du poids.
Notre choix : DiamiSTAB, complément alimentaire à base d’huile de son de riz, d’extraits de cannelle et de chrome, contribue à équilibrer la glycémie, permet de diminuer le taux de sucre dans le sang et favorise la transformation des sucres en énergie. Découvrez Diamistab